Le jazz version saxo pour moi c’était Lisa Simpson, du Free imbitable ou des trucs chiants, puis la scène contemporaine anglaise ambiance bourrin (Comet is coming) et smooth (Alabaster DePlume) m’a converti, et un peu avant avec John Zorn lors de ma bascule période grindcore à noise mais ça reste en de niche.
Le jazz version saxo pour moi c’était Lisa Simpson, du Free imbitable ou des trucs chiants, puis la scène contemporaine anglaise ambiance bourrin (Comet is coming) et smooth (Alabaster DePlume) m’a converti, et un peu avant avec John Zorn lors de ma bascule période grindcore à noise mais ça reste en de niche.